Ce projet s’inscrit dans la continuité des données obtenues dans le cadre des projets précédents à destination des étudiants (Conf’étu, Unimes en forme et Cov’Etu). Déjà avant la crise sanitaire, les étudiants étaient identifiés comme une population présentant des modes de vie pouvant être défavorables pour leur santé, se traduisant notamment par des niveaux élevés de sédentarité et une faible activité physique. Lors des confinements, la fermeture de l’université et le recours massif aux enseignements à distance ont conduit à une majoration des comportements sédentaires des étudiants, entrainant un éloignement de la pratique d’une activité voire l’apparition ou l’aggravation de pathologies. En considérant les nombreuses conséquences délétères sur la santé psychologique et physique de l’inactivité et des comportements sédentaires, et suite au constat que certain.e.s étudiant.e.s abandonnent les programmes par manque d’estime de soi et/ou l’incapacité à réaliser des activités en groupe, ce projet pilote a été déployé au sein du service de santé universitaire afin de proposer des séances d’activité physique, adaptées et individuelles.