Titulaires – UPR APSY-V

MEMBRES TITULAIRES

Mes travaux portent essentiellement sur les individus vulnérables appartenant à des groupes minoritaires et/ou stigmatisés (ex. personnes LGB, individus atteints d’un trouble psychiatrique, et leurs proches) et visent à appréhender le rôle du contexte social dans la détresse psychologique de ces populations

Mes travaux de recherche s’inscrivent principalement dans les domaines des neurosciences et de la kinésiologie. D’une part, je m’intéresse particulièrement aux effets de la fatigue neuromusculaire sur les perceptions proprioceptives avec des perspectives d’application dans les champs de la performance sportive et de la santé. D’autre part, mes recherches récentes tendent à l’identification de marqueurs indirects de la fragilité chez les seniors.

Mes travaux de recherche portent principalement sur l’influence situationnelle de facteurs psychologiques et psychosociaux sur la performance physique de populations vulnérables. Je m’intéresse également à l’influence des perceptions liées au vieillissement sur la santé des individus. Enfin, je m’intéresse à la prise en charge en AP des seniors, notamment à son individualisation au travers d’approches innovantes.

Mes travaux s’articulent autour de trois axes de recherche : (a) mémoire, trauma et dissociation, (b) régulation cognitive des performances et témoignage oculaire, (c) analyse de l’application des travaux en psychologie cognitive sur les terrains légaux et thérapeutiques.

Mes travaux de recherche sont orientés vers une approche globale de la santé via la promotion de l’alimentation et de l’activité physique ainsi que la réduction de la sédentarité à des fins de santé en se saisissant des nouvelles technologies et de la gamification via l’exergaming.

Mes recherches portent sur une approche vie entière avec un intéressement spécifique chez le « jeune adulte » et le portage d’une maison sport-santé universitaire par l’UPR APSY.

Mon travail de recherche porte principalement sur la construction et le déploiement de l’action publique de mise en activité physique des populations vulnérables. Mes recherches s’inscrivent dans la sociologie de l’action publique et mobilisent à la fois des méthodes qualitatives (entretiens, observations) et quantitatives (Social Network Analysis, questionnaires, bases de données).

Mon travail de recherche est basé sur la promotion de l’activité physique et la diminution de la sédentarité des populations vulnérables, notamment les enfants, les adolescents, les personnes ayant un/des troubles neurodéveloppementaux (autisme, TDA/H).

Les modèles théoriques que j’utilise sont principalement le modèle socio-écologique ainsi que la théorie de l’autodétermination.

Mes travaux s’inscrivent dans le domaine de la psychopathologie développementale et s’articulent essentiellement autour de trois axes : 1) Étudier les trajectoires de développement d’enfants présentant un Trouble du Spectre de l’Autisme (TSA) en contexte inclusif, 2) Mieux comprendre les relations entre certains processus psychologiques et le développement et la santé psychologique à l’adolescence, et 3) Évaluer les effets d’interventions mises en œuvre à l’école pour favoriser l’inclusion scolaire des enfants ayant un TSA, ou promouvoir le développement et/ou la santé la santé psychologique de tous les élèves

Je porte un intérêt scientifique pour l’analyse sociologique du rapport au sport, au corps, au bien-être et à la santé au regard des appartenances culturelles, sociales, sexuelles, et territoriales sur les plans locaux, nationaux et internationaux.

Mes travaux portent sur l’influence de l’environnement social sur la cognition et ses produits, notamment à l’influence exercée par les processus de comparaisons sociales interpersonnelles et intergroupes.

Mes recherches portent principalement sur le réseau cérébral des ganglions de la base (noyaux gris centraux), et plus spécifiquement sur la boucle motrice qu’ils régulent. J’ai étudié cette boucle dans des contextes pathologiques tels que la maladie de Huntington et les troubles du spectre autistique, en m’intéressant notamment aux altérations neurobiologiques sous-jacentes. Depuis mon arrivée au laboratoire en 2025, j’ai réorienté mes recherches vers la neurophysiologie clinique en réalisant des électroencéphalogrammes (EEG) chez des volontaires, dans le but de mieux comprendre les corrélats électrophysiologiques de ces dysfonctionnements cérébraux.

Mon domaine de recherche porte sur la compréhension des processus psychologiques en jeu dans l’ajustement des patients confrontés à la maladie chronique et à leur entourage, dans une perspective biopsychosociale et développementale, ainsi qu’aux dispositifs de prévention, d’accompagnement et de promotion de ces maladies.

Je m’intéresse aux avantages que peut apporter la psychologie évolutive au domaine de l’apprentissage, de l’éducation et du raisonnement. Les travaux entrepris visent à générer des hypothèses réfutables permettant de mettre à l’épreuve les théories de la psychologie évolutive (notamment la théorie des deux types de connaissances « primaires »/« intuitives » et « secondaires »/« académiques ») de façon empirique.

Mes travaux de recherche portent sur les différences inter et intra-individuelles en régulation émotionnelle concernant (1) les différences liées à l’âge de l’adolescence au vieillissement, (2) les différences de personnalité sur la dynamique affective, (3) les interventions autonomes (pleine conscience et psychologie positive), et (4) les différences inter et intra-individuelles de la dynamique affective auprès de populations vulnérables.

Mes travaux de recherche portent sur les déterminants de la prise de risque à l’adolescence en lien avec les différences inter- et intra-individuelles et les populations vulnérables (e.g., adolescents sous supervision judiciaire). Plus spécifiquement, mes travaux visent à étudier facteurs de risque et de protection qui influencent l’engagement dans la prise de risque et les capacités d’ajustement au niveau de risque

Mes travaux de recherche actuels portent sur les enjeux socio-économiques du sport, et s’intéressent en particulier aux marchés des activités physiques, de loisir et de tourisme.

Mes travaux visent à déterminer les facteurs contributifs à un bonheur optimal (élevé et stable), malgré l’expérience de facteurs de risque. Parmi ces contributeurs on retrouve les ressources psychologiques positives (ex : optimisme, espoir, gratitude, sagesse…), la construction du soi comme étant centré sur lui-même ou décentré.

Mes travaux de recherche sont axés autour des bienfaits de l’activité physique à des fins de santé auprès de publics vulnérables. Ces travaux sont axés sur deux thématiques principales : 1) Effets de l’activité physique sur la régulation émotionnelle et les processus psychologiques chez l’adulte avec une troubles de l’attention/hyperactivité (TDA/H), et 2) Mesures de quantification de l’activité physique et de la performance auprès de différents publics (par exemple, pratique d’activité physique chez un public en fauteuil à la suite d’une lésion de la moelle épinière)

Mes travaux de recherche portent sur :

Perception, représentation et comportements face aux risques majeurs
Amélioration de l’alerte aux populations en situation de catastrophe
Prise de décision en gestion de crise
Eco-anxiété et éco-inquiétude

Elodie Charbonnier

MEMBRES TITULAIRES

Elodie Charbonnier

Flavio Da Silva

Maxime Deshayes

Olivier Dodier

Aurélie Goncalves

Clément Perrier

Caroline Bernal

Gaëtan Briet

Romaine Didierjean

Florence Dumas

Laurie Galvan

Laura Lepage

Florence Lespiau

Sarah Le Vigouroux

Céline Moncel

Elodie Paget

Nicolas Pellerin

Antony Philippe

Karine Weiss